Résumé par Niccolo
Le groupe s’avance au tréfonds du havre du Chercheur, pour trouver des reliques. Découverte de la Tombée du Jour dans une salle circulaire, on y trouve une relique dorée pourvue d’une tête d’aigle.
Niccolo lance un sort de portail dimensionnel entre la bibliothèque et le Sanctuaire d’Aroden qui restera ouvert pendant les prochaines 24 heures.
Ils trouvent, posés sur des piédestal, divers artefacts. Une tête d’aigle couvert d’or ainsi qu’une épée étiquetée « Fil du murmure, épée de duel Augustine, le vétéran Froid ». Un pendentif : une main de momie très bien conservée, aux ongles très long . Un jeu d’échec, cadeau du Taldor au Cheliax en 4325.
D’un geste fulgurant Niccolo attrape la tombée du jour. Instantanément la pulsation lumineuse qui en émanait s’interrompt. Aurora jette la main de momie sur l’épaule de Naerya, qui est d’abord surprise, puis agacée, très agacée. Insidieusement une négociation s’ouvre avec Ailyn concernant le devenir de tous les artefacts meublant cette maison des Éclaireurs.
En étudiant la Tombée du Jour, il apparaît qu’elle est conçue pour s’emboîter avec autre chose, tout le monde pense au Totemrix. Arcibaldo devine que l’artefact doit s’activer grâce à un mot de pouvoir. Naerya croise Ataa des yeux en cherchant à imposer son leadership, après avoir cherché l’approbation de Niccolo le spadassin se mets à la suite de l’Érinye.
Un maximum des traités trouvés sur les étagères sont transférés dans des havrespaces.
En remontant vers le niveau supérieur, ils parviennent à une pièces dans laquelle des cadavres très anciens sont entassés devant une porte. Des traces d’affrontement laissent penser qu’ils ont essayé de la forcer. Elle a pourtant l’air neuve. Aurora la crochète sans difficulté. Arcibaldo y détecte la même magie présente que sur les tableaux du hall d’entrée.
De l’autre coté se trouve un squelette près duquel est inscrit “qui me volera périra par ma main”. Il est sur canapé entouré d’une demi cercle de bric et de broque. Arcibaldo allume un des cierges funéraires permettant de converser avec le mort. Une forme fantomatique apparaît alors : un crane qui hurle “AU VOLEUR ! ! ! ! !” sans s’arrêter. Pétrifiée, Aurora sent une lame qui se glisse dans son torse, et un souffle froid d’Ilnéric qui lui murmure « contemple le bien avant de le rejoindre dans la mort ». La tieffeline bondi et semble essayer d’arracher la tête d’un être invisible aux autres. Un poignard spectral pénètre sa chair juste avant qu’Arcibaldo dissipe l’effet magique. Niccolo la soigne. L’aura nécromantique semble se diffuser du cadavre vers les murs de la bâtisse.
Niccolo lance un sort de vie sur la dépouille qui semble y être sensible. Une image fantomatique se superpose au cadavre ; Donatellus Bisbi ! Il ouvre les yeux. « merci » , et se redresse, « je reprend raison. Qui êtes vous ? » Arcibaldo lui explique la situation, la fermeture du Havre, la malédiction sur Couronne d’Ouest. L’Aole, Ilnéric, la malédiction du Totemrix, qu’ils viennent chercher la Tombée du Jour. « La Tombée du Jour est dangereuse, autant que peut l’être le Totemrix. Elle est instable ». Tout le monde est surpris. « Le Totemrix a montré qu’il peut faire sombrer dans la noirceur celui qui le porte. La Tombée du Jour aurait pu avoir le même effet sur moi ». Ils lui demandent ce qui lui est arrivé. « Je me suis enfermé ici pour empêcher les profanateurs d’entrer. Je me souviens, comme d’un rêve, qu’il fallait sceller le Havre et empêcher que la folie qui règne à Couronne d’Ouest vienne libérer les reliques en notre possession, et nous avons cacher le Totemrix derrière des protections, mais Ilnéric s’est enfui. Il faut reconstituer l’Aole puis le détruire, mais méfiez-vous de l’ envie que génère ces objets de pouvoir… Quand ils ont été séparés, alors la lumière a commencé à pulser… La tribu qui nous a remis la Tombée du Jour nous a enseigné le mot de pouvoir… Cet artefact est une manifestation de la force d’une divinité du Soleil du nom d’Aessivra qu’il faut prier à voix haute, tout en étant animé de bonne intention. Ilnéric a été perverti par son besoin de gloire, alors qu’il aurait pu se contenter de profiter du rayonnement de Ma Gloire » Une fois son monologue terminé le groupe lui propose une sépulture. Il demande qu’elle soit dédiée à Aroden…
Il se remémore les profanations du Havre, d’abord par les Thrune, aidés de faux éclaireurs mus par l’appât du gain, repoussés par ses créatures, puis récemment par Ilnéric.
Aurora lui réclame un autographe qu’il lui offre d’une main tremblante, avant de prononcer quelques paroles inaudibles et de retourner dans le néant d’où il était venu. Aelyn est emballée. Arcibaldo use de télékinésie pour faire venir à lui le chapeau de Donatellus. Le groupe quitte le Havre du chercheur pour regagner le sanctuaire d’Aroden.
Niccolo, après moult tractations, signe un contrat avec Naera (clause de sauvegarde réussie 43) échangeant une semaine de ses services contre un jour ici bas. Celle-ci accepte instantanément.
Zéphir attendait Aurora sur les terrasses de Vira Aténaar, elle lui montre son autographe. Il l’interroge sur Cyan et Vachiane, elle lui dit qu’il a mal tourné… Zephir dit que Cyan la chercherait avec ses frères, apparemment pleine de mauvaises intentions. Ce n’est pas une personne très fréquentable selon lui. Le tieffelin pense qu’elle s’est position en opposition des Veilleurs, elle chercherait même à les abattre ! Quand on lui demande ce qu’il sait sur le Conseil des Voleurs, il affirme que leurs moyens semble très supérieur aux siens, et que Cyan travaille pour lui.
Zephir et Aurora attendent le reste de l’équipe. « Cyan ne travaille pas que pour les Drovange, mais surtout pour le Conseil des voleurs .» Arcibaldo suggère que les Fils de l’Erèbe travaillaient très probablement pour ce Conseil.
« Le Conseil est constitué de maisons nobles. » Niccolo laisse pendre sa mâchoire. "Le Conseil a des ramifications dans des guildes d’artisans, dans la criminalité, dans l’administration, dans la bureaucratie et dans la noblesse. L’objectif de la Maison Thrune était de se débarrasser du Conseil des Voleurs il y a moins d’un siècle, mais celui-ci s’active dans les ombres de Couronnes d’Ouest. Cyan demande dans son réseau à ce qu’on surveille de la Maison Aténaar afin de mettre la main sur ses membres. Le responsable serait le patriarche Drovange : Vassindio. Les remous seraient l’œuvre des petits enfants de Vassindio : Ecardian et Chamadi. Le Conseil est divisé, et les petits enfants cherchent à prendre le pouvoir. Les anciens sont des traditionalistes qui cherchent équilibre et discrétion, alors que les jeunes sont plus expéditifs. »
Pour ses très précieuses informations le groupe très reconnaissant lui propose un service.
À cause du risque encouru par la Maison, Niccolo souhaite informer le Baron son père, mais celui-ci n’est pas encore rentré de ses négociations avec les Gorvix. Arcibaldo ait son rapport à Ignatio, le maître-espion de la famille.
Selon Zéphir, les membres connus supposément membres du conseil des voleurs seraient :
- Les Arvanxi (ainsi que des maisons mineures qui en dépendent : Couxi, Razdvan, Matrisse, la guilde des prêteurs, la fille d Abérion qui est la reine de la ville de Corvoza)
- Les Drovange (ainsi que les maisons mineurs : Invius, Lorianne, Xeritis, et la guilde des marchands)
- Les Auberigo (Guilde des placiers, et la maison mineurs Olamax)
Niccolo rédige des lettres de dénonciation pour les combats d’arènes à l‘attention du clergé d’Asmodeus où il explique que des diables sont invoqués par un elfes à cette fin, et deux lettres pour le Baron qu’ils laissent dans un fond caché de la boite à tabac qui lui a offert l’année dernière. Dans la première il raconte ce qu’il sait concernant le conseil des voleurs, dans la seconde, sur laquelle est écrit « à ouvrir si tu as besoin d’en savoir plus » il dévoile son parcours de Veilleur en un feuillet.
Après une nuit reposante, Niccolo présente Naerya à Causio. Celui tombe sous le charme et incité par son cadet manque de peu de lui vendre son âme. Ensuite Niccolo va se montrer à son club du fumoir accompagné de son Érynie pour impressionner ses amis. Il en profite pour chercher des informations sur d’éventuelles dissension au sein du Conseil des Voleurs. Il apprend, concernant la maison Drovanche, que Vassindio a une fils nommé Sidonaï. Chamadi (sa petite-fille) est considérée comme la vraie héritière car son frère, Écardian, est un tieffelin, la honte de la famille. Sidonaï a été chassé par Vassindio peu après sa naissance d’Écardian. Les dissensions au sein de la famille Drovanche sont difficile à discerner.
Pendant ce temps Arcibaldo s’informe sur le Conseil des Voleurs sous le masque de Guiseppe Doigts de Fée, quitte à devoir utiliser la magie pour se faire. Il apprend que le Conseil disposerait de plusieurs maisons de guildes dans la ville pour traiter ses affaires. La plus importante se trouve à Wallcourte, dans le Rego Laïna. Vieille, décrépie, censée être inusitée. Cela lui rappelle une vision où il a entraperçu Ilnéric dans une ancienne loge de Crussisal le Fondateur, protecteur des bateliers et de la ville, abandonnée peu de temps après la mort d’Aroden, et qui a servi brièvement d’asile de nuit à des gens piégés dehors par des créatures de l’ombre. En terme d’activité le Conseil apparait comme ayant principalement un rôle de censure, tout en prélevant une dîme sur les activités illégales de Couronnes d’Ouest, tout ceci passant par la guilde des voleurs.
Janiven Kay est abasourdie quand tout ceci lui est révélé.
Arcibaldo se souvient du Général Vourne qui inquiétait tant le seigneur Arvanxi, et dont la fidélité envers la maison Thrune ne semble pas être à remettre en cause. Naerya est missionnée pour lui apporter une lettre où figure les affirmations suivantes :
- Le vampire Ilnéric est responsable des créatures de l’ombre
- Le vampire loge aux Conseils des Voleurs
- Le Conseil des voleurs, via la guilde des prêteurs prélève une dîme qui est dissimulé à la Maison Thrune
- Le Conseil des voleurs serait dirigé par les Maisons Drovange, Arvanxi, et Auberigo
(codé : Les Veilleurs sont au service de la Maison Aténaar)
Signé : Les veilleurs
Après avoir intimidé des gardes pour accéder au général, Naerya est accueilli par lui entouré de capitaines et de 5 hommes d’arme équipés d’arbalète pointées sur elle.
Avec une appréhension mal dissimulée, un capitaine brise le sceau de la guide des diplomates mis en place par Arcibaldo, et en lis le contenu à voix basse.
Naerya insiste sur le fait qu’elle est envoyée par les enfers pour mettre fin au chaos qui règne dans la ville, et qui préoccupe fortement en haut lieu. Elle réclame que des geôles soient préparées et que deux hommes l’accompagnent pour attester de ce qui se passera ce soir. Elle promet à Vourne qu’il sera grassement payé pour régler ce problème, mais celui-ci manque de s’étouffer qu’elle ait pu le juger motivé par l’argent.
Non sans attirer l’attention des Dotaris, l’Érynie quitte les lieux avec un lieutenant et un sergent. Ils rentrent au sanctuaire d’Aroden.
Entre temps Niccolo visite sa fiancée. Aurora fait accepter ses nouveaux cours de danse à son professeur. Mère semble s’inquiéter d’elle. Ignatio lui a parler de ses fréquentations et de ses sortie nocturnes, elle l’enferme pour la soirée et lui propose d’aller acheter de nouvelles robe demain matin si elle reste sage jusque-là.
Arcibaldo répand la rumeur selon laquelle Les Veilleurs aurait identifié la source du mal qui ronge couronne d’ouest et qu’ils vont bientôt régler le problème. Les rumeurs diffèrent sur la nature de la source : temple maudit, monstre dans le Rego Cader etc. Ensuite il part identifier les lieux que le groupe va devoir visiter cette nuit sur le Rego Corna. Les guildes des placiers, des prêteurs, et des marchands. Le masque « Eustache Féliz » connaît déjà ces lieux.
La guilde des marchands est un lieu ouvert avec une cours carrée entourée d’arcade où on trouve souvent un marché. Les marchands les plus influents y ont une échoppe. La Guilde des Placiers permet de trouver un logement et s’occupe des aubergistes. Ce bâtiment de trois étages en colombage, situé dans une rue très animée du Rego Corna, est le lieu de nombreuses réunions en tant qu’auberge à la réputation qui n’est plus à faire. La guilde des prêteurs est un bâtiment au style gothique pourvu de grandes sculptures de diables, située dans le Rego Laïna. On y voit des bas-reliefs, des barreaux aux fenêtres, des portes armurées et des gardes qui le sont tout autant.
Deux chambres sont loués au rez de chaussée d’une auberge. Une charrette et une felouque sont préparées.
Quand Naerya arrive au sanctuaire d’Aroden avec les Thrunes elle présente ceux qui y sont présents comme ses sbires, mais est très décontenancé de ne pas y trouver le groupe. Énervée, elle va prendre l’air, entre temps Niccolo revient et explique le plan aux Thrune qui, très agacés de devoir attendre toute la nuit, décide de rentrer à leur forteresse pour ne revenir qu’une heure avant l’aube quand l’action sera déclenchée.
Pendant la nuit Arcibaldo et Aurora partent visiter la guide de marchands et trouvent des documents codés. Ils les prennent ainsi que d’autres rédigés de la même main et sérigraphiés de la guilde des marchands. En cherchant encore, ils tombent dans ce qui pourrait être la chambre du gardien et de sa femme, ou du chef de la guilde, saouls et ronflants. Le maitre de la guilde des marchand se nomme Kanat Drovange. Sa correspondance avec une certaine Odoxie Loriel (baronne de la famille Lorianne, inféodé aux Drovange) a ceci de particulier qu’ils font mention de retards de paiement de de marchands dont la liste suit, et dont sera avisé un certain Conseil.
Il se dirige ensuite vers la guilde des placiers, directement vers l’étage depuis l’extérieur, mais Aurora ne parvient pas à forcer la serrure. Arcibaldo entreprend donc de découper la vitre le plus discrètement possible. Ils pénétrent dans l’obscurité, au deuxième étage où s’affaire les placiers durant la journée. Après avoir cherché pendant une heure ils doivent s’avouer vaincus, mais, à l’aide d’un sort d’inattention étendue, parviennent à rejoindre le bureau du maître de la guilde en passant au milieu d’une salle remplie de clients et de serveurs qui ne notent pas leur passage. Des documents concernent la Baronne Carmilia Aulamax, mais ils ne trouve rien d’autre que des tarifs et des discussion à ce propos sauf un courrier apparemment mal rangé, adressé à la baronne, aux tournures complexes pleine de double sens, signé d’un V, et s’en prenant à l’attitude de Carmilia, précisant que le Conseil a besoin de force vive et non de division, que certains propos évoquant des envies de jeunesse ne seront plus tolérés, et qu’il faut qu’elle se reprenne avant qu’un tragique accident de la vie ne la rattrape.
Enhardis par cette découverte, le frère et la sœur s’aventurent alors vers la guilde des prêteurs. Le bâtiment gothique semble attendre. Arcibaldo projette de l’acide sur les barreaux des fenêtres, Aurora a la présence d’esprit de les attacher à une corde pour éviter qu’ils ne chutent et rameute la garde. Ils entrent par la fenêtre et entendent une créature renâcler derrière la porte. Un mâtin. L’entrapercevant par la serrure, Arcibaldo endort l’animal, mais lui et Aurora doivent rapidement se résoudre à la tuer tant son sommeil est léger. Ils poursuivent les fouilles et découvrent un peu d’or, mais surtout des registres faisant état de dépôts et retraits n’étant fait qu’à la maison de guilde, assez étrange puisque les déposant ne peuvent reprendre que 80% du total. Ce qui reste est versé à un compte désigné d’un symbole. Il y a différentes écritures. Tout est plusieurs fois contresignés et daté depuis des années. Ils cachent les registres sur un toit proche. Arcibaldo ensorcelle une chauve souris pour dire à Niccolo de le rejoindre derrière l’auberge du Rat Bleu où il loge. Le prêtre s’y rend.
Au milieu de la nuit Naerya va se percher sur un toit pour surveiller le domaine de Wallcourt. Elle y aperçoit des silhouettes encapuchonnées qui y entrent.
Niccolo invoque une chiée et demi de diables dans sa chambre, et se retrouvent rejoint par les gardes Thrunes qui semblent quelque peu impressionnés. Arcibaldo invoque un armure sur ses acolytes, pendant que Niccolo les entoure d’une brume qui brouille leur forme.
Ils se scindent en deux groupes, mais les Thrunes refusent de les accompagner. Naerya et Arcibaldo pénètrent la demeure et y découvre un cadavre récent et très mutilé. Vêtu richement de soie, la dépouille du vieil homme, reconnu comme étant Vassidinio Drovange, vient d’être déposé ici.
De son coté Niccolo pénètre dans la dépendance à l’arrière. En très mauvais état, mais une agréable odeur café émane de l’intérieur. Une domestique apparaît, est très intimidé, prétend n’être là que pour entretenir les lieux. Suspicieux, quand le prêtre d’Asmodeus entreprend de l’attacher sur une chaise on entend une explosion ; dans la pièce ou se trouve Niccolo tout s’enflamme.
La fermière apparait sous son vrai jour, une ogresse monstreuse à trois têtes, à la peau pendante et putride, toutes griffes dehors. Aurora plonge à travers le toit, pied en avant, et attaque la créature qui vomi alors de l‘acide par toutes ses bouches, y compris celle des visages recouvrant son ventre. Elle asperge les diables. Ceux-ci répliquent violemment et la créature disparaît subitement.
De leur coté Arcibaldo et Naerya découvrent une porte et la défonce. La nouvelle pièce semble être un dortoir pour ivrognes et sans-abris : des haillons, des couverture. Un accès se dirige vers une salle vide de tout occupant et réaménagée pour accueillir des mendiants : tables, tréteaux, chaudron louche, bols qui semblent avoir été utilisés récemment. Derrière le foyer se trouve un conduit sombre maçonné débouchant vers une pièce légèrement lumineuse. En s’y faufilant un piège est déclenché qui se coince miraculeusement dans le gorgerin de l’Érynie. Dans la pièce un message leur indique qu’ils doivent passer une épreuve pour être admis dans le Conseil des Voleurs. Plus loin, dans un local éclairée seulement par une lampe à huile, un nouveau message leur indique « un seul sera admis »
Ils voient un fureteur, la créature mange un chien. Arcibaldo sonde son esprit : Dans des montagnes inconnues, des êtres du même type que la cible viennent du Nidal, le pays voisin vénérant la nécromancie. Ils se prosterne devant un homme aux cheveux blanc, aux oreilles pointus, aux yeux rouges et au visage blafard. La description correspond à Ilnéric Silvanshin.